Race ovine : MÉRINOS de MAUCHAMP

Publié le par histoire-agriculture-touraine

1828

Année d'origine de la race

Journal d'agriculture pratique. Tome II, 2e semestre 1861.
5 octobre 1861.
p. 349-350
LA RACE SOYEUSE DE MAUCHAMP
A M. le directeur du Journal d'Agriculture pratique.
Monsieur le directeur,
Vous m'avez demandé des détails sur la race ovine de Mauchamp ; je m'empresse di vous donner les renseignements que j'ai pu recueillir à la bergerie de Gevrolles et auprès de mon père, qui a vu cette race naître et se développer.
L'origine de la race de Mauchamp remonte au mois de décembre 1828

1850

Annales de l'agriculture française. Fondées par M. Tessier et rédigées par une réunion d'agriculteurs. 4e Série. Tome 21. (N° 212-128). Paris 1850.
p. 257-288.
Etudes sur la race Mérinos à laine soyeuse de Mauchamp, par A. Yvart, inspecteur des écoles vétérinaires et des bergeries nationales

EN COURS DE TRANSCRIPTION

1850

Journal d'agriculture pratique. Troisième série, tome 1er. Janvier à décembre 1850.
p. 507-518
RACE MÉRINOS SOYEUSE DE MAUCHAMP.
par YVART, Inspecteur général des écoles vétérinaires et de bergeries nationales.
La question de savoir s'il est plus avantageux de diriger la race ovine vers la production de la laine ou vers celle de la viande préoccupe beaucoup les agriculteurs français. Améliorer à la fois les deux produits est, sans aucun doute, la meilleure solution du problème. Mais cette solution est-elle possible . Nous le croyons, le Mémoire si remarquable de M. Yvart sur la race mérinos à laine soyeuse de mauchamp nous paraît le démontrer victorieusement. Ce travail que nous insérons en entier, montre en outre l'importance des résultats que l'on peut obtenir dans l'éducation du bétail quand on joint, comme M Graux, fermier de la terre de Mauchamp, à un discernement profond une patience à toute épreuve. M. Graux a eu, il est vrai, le bonheur de rencontrer un propriétaire qui a consenti à subir une diminution de ses revenus pour lui venir en aide dans l'oeuvre qu'il tentait. Le sacrifice du propriétaire a fini par tourner à son avantage, lorsque les succès eut couronné les efforts de M. Graux. C'est un exemple que nous nous plaisons à citer des heureux effets que l'on peut attendre d'améliorations entreprises par les fermiers avec le concours des propriétaires.
Le Mémoire de M. Yvart présente, outre l'intérêt qu'il tire de l'importance des résultats obtenus à Mauchamp, un caractère particulier que nous croyons aussi devoir faire remarquer. On y voit l'heureuse alliance de l'observation des caractères extérieurs des animaux, de l'appréciation par la balance, et de l'emploi de l'analyse chimique. En s'aidant ainsi de tous les moyens de recherche mis aujourd'hui à la disposition de l'homme, on marche à coup sûr à la découverte de la vérité.
B.

EN COURS DE TRANSCRIPTION

1856

Bulletin de la Société impériale zoologique d'acclimatation, Tome 3, 1857.
p. 438-443
Sur les laines de Mérinos-Mauchamp provenant de ma ménagerie du Muséum d'histoire naturelle.
Seconde lettre adressée à M. le Président de la Société Impériale d'Acclimatation par M. le docteur MILLOT de Mello (Oise)

Séance du 10 juin 1856

EN COURS DE TRANSCRIPTION

1861

Journal d'agriculture pratique. Tome II, 2e semestre 1861.
5 octobre 1861.
p. 349-350
LA RACE SOYEUSE DE MAUCHAMP
A M. le directeur du Journal d'Agriculture pratique.
Monsieur le directeur,
Vous m'avez demandé des détails sur la race ovine de Mauchamp ; je m'empresse di vous donner les renseignements que j'ai pu recueillir à la bergerie de Gevrolles et auprès de mon père, qui a vu cette race naître et se développer.
L'origine de la race de Mauchamp remonte au mois de décembre 1828. A cette époque, M. Graux trouva dans son troupeau un agneau mâle complètement différent des autres par la longueur et le brillant de la mèche et aussi par sa conformation singulière. Cet agneau provenait d'un père et d'une mère de race mérinos pure. M. Graux eut la bonne idée de le conserver. Déjà d'autres propriétaires de mérinos avaient remarqué à différentes reprises des animaux semblables à ceux de M. Graux ; mais ils différaient tellement de leurs troupeaux qu'ils les sacrifiaient impitoyablement. On a même observé à la bergerie de Rambouillet, et bien avant M. Graux, des accidents de cette nature.
M. Graux, qui était fermier à Mauchamp et qui n'avait pas grande fortune, se décida à se servir de cet agneau devenu bélier pour un petit nombre de brebis. Ne connaissant pas bien cet animal, il s'exposait à perdre son troupeau qui était, selon les filateurs de Reims, le plus beau de la contrée. On ne peut que le louer de cette expérience hasardeuse qui a parfaitement réussi, mais que beaucoup de riches éleveurs n'eussent pas osé tenter. Il accoupla donc son nouveau bélier avec des brebis mérinos ; il eut deux agneaux (un mâle et une femelle qui étaient tout à fait semblables à leur père. Enfin à force de persévérance il obtint, par des croisements, 142 bêtes âgées d'un mois à six ans. Jusqu'en 1835 et 1836 les animaux de cette nouvelle race péchaient tous par les formes, à tel point que M. Graux les croyait peu propres à l'engraissement ; à partir de cette époque, les défauts commencèrent lentement à disparaître.
La toison, qui était très longue, avait la mèche très pointue et la laine peu tasse. Elle ressemblait complètement au poil des chèvre de Cachemire par le brillant et la douceur en même temps que par la blancheur, et elle avait en plus la finesse que n'a pas le poil. Elle présente encore un avantage sur le poil, c'est que les brins de laine sont plus réguliers, ne sont pas mélangés de jarre, et ils prennent par conséquent la teinture plus régulièrement. Depuis cette époque, les animaux de la race mauchamp ont conservé la même laine ; seulement les toisons sont devenues plus lourdes parce qu'elles sont plus fermées et plus tassées. A partir de 1832, M. Graux recevait déjà des encouragements bien mérités ; le bureau des manufactures lui décerna le 1er prix en 1836 ; la Société royale et centrale d'agriculture lui attribua à titre d'encouragement une médaille d'or à l'effigie d'Olivier de Serres ; le gouvernement lui donna une aide persévérante par des encouragements de 1 500 fr., de 3 000 fr., de 4 000 fr., et dans ces derniers temps il lui allouait annuellement une subvention de 6 000 fr. Enfin M. Graux est le cultivateur envers qui le gouvernement ait fait de pareilles largesses, car depuis environ 25 ans il a reçu au moins 120 000 fr. Les éleveurs de moutons doivent être très reconnaissants envers M. Yvart, inspecteur général des bergeries et des écoles vétérinaires, qui était chargé d'inspecter le troupeau de Mauchamp, et qui a toujours fait des rapports très favorables à la conservation d'une race d'un si grand avenir pour la France. Il faut aussi citer M. Cunin-Gridaine, ministre de l'agriculture (1), qui a su apprécier l'importance de la race soyeuse et qui n'a cessé de donner à M. Graux les encouragements les plus intelligents.
En 1840, sur la proposition de M. Yvart et de M. président H. D'Abancourt, 20 brebis et 3 béliers furent achetés à M. Graux pour les bergeries de l'Etat. On en transporta une partie à Alfort et l'autre à Lahayevaux dans les Vosges, sous la direction de M. Lequin. M. Yvart fut chargé de faire de nombreuses expériences avec ces animaux ; il croisa entre autres des moutons anglais avec des mauchamps. Il avait essayé de faire ces croisements avec des mérinos et il a été très heureux de trouver le mauchamp pour conserver aux laines anglaises leur longueur tout en leur donnant plus de brillant et en leur ajoutant beaucoup de douceur et une très grande solidité. Il parvint à produire des moutons très recherchés maintenant aux environs de Paris, car ils répondent au besoin de la consommation actuelle ; ils produisent une laine plus fine et meilleure que les moutons anglais et ont en outre les qualités recherchées par la boucherie.
En 1846 la bergerie de Lahayevaux (Vosges) fut transportée à Gevrolles (Côte-d'Or) ; là on s'occupa d'améliorer les formes du mauchamp ; les pattes de devant étaient très souvent cagneuses, le cou était très long et le derrière trop pointu ; ce qu'il y avait seulement de remarquable, c'était l'ampleur de la poitrine. Cet établissement produit maintenant des animaux qui laissent peu à désirer. Les béliers portent de 3 à 4 kg de laine lavée et les brebis environ 2 kg. Les formes se sont développées ; le rein est devenu très droit et les pattes torses ont disparu ; le cou n'est pas si long que celui des mérinos et est complètement sans plis ; les béliers ont la tête petite et élégante. Ils sont très vigoureux et en général plus robustes que les animaux de Rambouillet ; ils s'engraissent bien plus facilement, à tel point que les brebis sont souvent trop grasses au moment de l'agnelage. Les agneaux qui naissent ont le poil de la tête et des pattes plus ondulé et plus brillant que dans les mérinos. Il est très difficile d'obtenir de jeunes animaux du poids de 50 à 60 kg à l'âge de 12 mois, et quand on les livre au boucher ils obtiennent la préférence sur tous les autres et par la qualité de leur viande et par leur rendement. Il faut donc espérer que les agriculteurs français ne voudront pas laisser péricliter une race qui pourra leur rendre de si grands services. Il y a en ce moment beaucoup de laines venant d'Australie qui sont trop courtes et trop cassantes pour pouvoir être filées seules ; la laine soyeuse de Mauchamp trouvera là un emploi avantageux.
Lorsque la race de Mauchamp eu acquis un degré de fixité et de perfectionnement convenables, ce fut à l'industrie d'indiquer le parti qu'on pouvait en tirer ; il fallait que les fabricants pussent faire des étoffes ayant des caractères spéciaux et un caractère distinct, en même temps qu'ils y auraient du bénéfice, de façon que les éleveurs fussent engagés à nourrir beaucoup de moutons soyeux avec certitude d'en trouver un bon placement.
Parmi les peigneurs et les filateurs qui se sont occupés de la laine soyeuse, on peut citer M. de Fourment qui a acheté 150 Kg à 10 fr., en 1833, MM. Hannosset, Boquillon, Paturle (du Cateau), Sangonard, Biétry et enfin M. Davin, filateur à Paris, qui a fait des châles de cachemire français magnifiques ; des étoffes de toutes façons et entre autre de la popeline de laine, du drap de velours sont fabriqués avec la laine d'agneau par M. Montagnac. La Société impériale d'acclimatation de Paris a fondé, sur demande de M. Davin, un prix de 2 000 fr. pour l'éleveur qui pourra présenter en 1864 un troupeau de 100 bêtes élevé dans ses bergeries et dont la toison offrira tout le caractère de la laine soyeuse ; il ne faut pas oublier de dire que M. Davin entre pour moitié dans cette œuvre d'encouragement. Il a fait en outre d'autres sacrifices ; au mois de mai dernier, il s'est mis à la tête d'une souscription pour expédier à Buenos-Aires 90 animaux de la race soyeuse ; il a offert à toutes les cours d'Europe des échantillons de produits qu'on pouvait tirer de la laine du mauchamp, et a réussi à l'introduire en Espagne.
La bergerie de Gevrolles (bergerie impériale,1846-1864 ; http://www.christaldesaintmarc.com/la-balade-gourmande-c30000062), a fait aussi un croisement du mauchamp avec le Rambouillet ; cet essai a parfaitement réussi ; on a obtenu des animaux qui donnent une laine bien plus longue que celle de Rambouillet et qui conserve la douceur et le brillant du mauchamp : en outre les toisons sont plus lourdes que dans l'une et l'autre race, et les animaux s'entretiennent plus facilement en état de chair dans les mêmes étables que les moutons de Rambouillet. Les éleveurs d'Australie et du Cap savent parfaitement apprécier cette race, car ils viennent tous les ans acheter à Gevrolles et dans les troupeaux du Châtillonais qui ont été améliorés par les béliers que les éleveurs de ce pays ont pris à Gevrolles sans le vouloir avouer pendant longtemps. La bergerie de Gevrolles a fourni des animaux à MM. Godin, Achille Maître, Japiot et Chaudron; ainsi qu'à beaucoup d'autres éleveurs du Châtillonais. Cet établissement en a vendu aussi au grand-duc de Toscane, au duc de Wurttemberg pour l'école de Hohenheim et dans un grand nombre de contrées étrangères. 
Il existe en France différents troupeaux de mauchamps : ainsi M. Serre, dans la Côte-d'Or, transforme en ce moment un troupeau de 700 à 800 mérinos en mauchamps purs ; M. Ferney, à Péronne, en possède un assez considérable. On pourrait encore citer d'autres éleveurs de cette précieuse race.
M. Graux est mort cette année le 2 avril (2 avril 1861). Il était membre de la Légion d'honneur depuis 1851. Son nom doit rester célèbre dans l'agriculture à côté de Daubenton, et sa réputation ira augmentant à mesure que la race soyeuse se répandra. Son fils qui est déjà très habile, continue dignement l'œuvre si bien commencée par le père.
Je termine cet article par la strophe suivante qu'un jeune poète a dédiée au créateur de la race mauchamp :
Disons ensemble, amis ; Gloire à Graux de Mauchamp,


A l'éleveur habile, instruit et persévérant,
Qui, le premier, trouva cet animal splendide,
Admirable mouton à la laine brillante,
Qui laisse tous les ans une toison pesante,
Aux machines faisant, avec l'homme pour guide,
Aux riches de nos-jours, un vêtement plus chaud,
A la femme du monde un ornement plus beau.


Jean LEFÈVRE (2)
Stagiaire à la bergerie de Gevrolles.

(1) Laurent CUNIN-GRIDAINE (1778-1859), manufacturier de draps à Sedan (Ardennes) ; Ministre de l'Agriculture et du Commerce de 1839 à 1848.

(2) Jean LEFÈVRE, fils d'Élysée LEFÈVRE ancien directeur de la bergerie de Rambouillet.

 

p. 398-399
... En voici d'abord une (lettre) de M. Graux fils, qui est peut-être un peu personnelle, mais l'œuvre de M. Graux de Mauchamp est assez importante pour que son histoire soir complètement éclaircie :
Mauchamp, le 11 octobre 1861.
A M. le directeur du Journal d'Agriculture pratique.
Monsieur,
Votre journal du 5 octobre, contenait un excellent article de M. Jean Lefèvre sur la race soyeuse Graux de Mauchamp ; j'ai seulement regretté d'y voir figurer un nom qui n'a rien de commun avec la création de mon père, celui de M. Harmand d'Abancourt. Il n'y a aucunement contribué, et nous ne lui devons aucune espèce de reconnaissance. M. Harmand d'Abancourt, président de la chambre à la Cour des comptes, n'avait aucun titre pour faire la proposition dont il est question dans l'article que vous avez publié. Il n'était pas propriétaire du troupeau, et sa position à la Cour des comptes ne le mettait pas en rapport officiel avec le ministère de l'agriculture ; il n'aurait pu faire dans tous les cas qu'une démarche officieuse, et s'il l'a faite, ce ne peut être qu'à l'instigation de son gendre, M. Jules Harmand d'Abancourt, greffier de la Cour des comptes, qui croyait avoir à cela un intérêt personnel, ce que je serais à même de prouver, si l'on insiste sur ce sujet.
Je compte, monsieur, sur votre impartialité habituelle, et j'espère que vous voudrez bien reproduire ma lettre dans votre prochain numéro.
Agréez, je vous prie, etc.,
L. GRAUX
Cultivateur, à Mauchamp, par Berry-au-Bac (Aisne.)

 

p. 87
Concours régional de Toulouse.
....3° En 1859, un médaille d'or pour un troupeau dishley-mauchamps-mérinos (future race "Ille-de-France", croisement initial fait par M. Yvart) dans le concours ouvert par la Société impériale et centrale d'Agriculture de France pour le perfectionnement des animaux.

p. 89
Concours régional de Toulouse.
... A la bergerie du Blanc, on a combiné les quatre éléments dishley, mérinos, mauchamp, Lauraguais, de manière à obtenir des métis très remarquables, qui ont eu beaucoup de succès dans la catégorie des croisements divers.
 

1862

Annales de l'agriculture française, T20, 1862.
Extraits p. 201-204


M. A. Sanson cherche d'abord à démontrer que les inconvénients attribués à la consanguinité sont sans fondements. "Les zootechniciens, dit-il, considèrent les accouplements consanguins comme le moyen le plus prompt et le plus efficace d'étendre leurs perfectionnements. Les habiles éleveurs qui ont amélioré les races que nous admirons le plus ont accouplé leurs animaux précisément, en proche parenté, in and in comme disent les Anglais." A l'appui de sa manière de voir, M. Sanson cite des faits empruntés à l'amélioration des espèces chevalines, bovine, ovine et porcine…………….


Dans l'espèce ovine, l'auteur, après avoir rappelé la création par sélection et par consanguinité des races ovines améliorées de l'Angleterre, raconte la création de la race à laine soyeuse de Mauchamp. Voici comment il s'exprime à ce sujet.
"Tout le monde, dit-il, a entendu parler de ce qu'on appelle la race à laine soyeuse de Mauchamp. Cette race forme maintenant de nombreux troupeaux purs ou croisés. Elle peuple la bergerie impériale de Gevrolles qui a fourni des béliers jusqu'aux colonies les plus éloignées. Elle a rendu célèbre le nom de son créateur, M. Graux, mort récemment, en laissant à son fils un troupeau prospère et le soin de continuer son œuvre. Or sait-on comment a commencé cette prétendue race qui n'est qu'une famille de la race mérine ? Il s'agit ici d'un fait contemporain sur lequel ne peut planer aucun doute. Un beau jour, M. Graux vit parmi les agneaux de son troupeau de mérinos un agneau qui n'avait pas la laine comme les autres. Au lieu d'être frisé et de former ce que nous appelons une toison fermée et tassée, elle était lisse, brillante, formant des mèches pointues et légèrement ondulées. C'était un mérinos à longue laine. Eh bien, c'est cet unique agneau qui fut le premier père de toute la population actuelle des moutons soyeux [.......] En résumé, dit en terminant M. Sanson et sans pousse plus loin des recherches auxquelles l'élevage des oiseaux de basse-cour, par exemple pourrait fournir une ample moisson de faits, ceux que j'ai cités dans cette note et qui sont empruntés à l'histoire authentique des races chevalines, bovines, ovines et porcines de l'Angleterre et de la France autorisent à conclure que, pour ce qui concerne ai moins les animaux domestiques, les inconvénients attribués à la consanguinité n'ont aucun fondement dans l'observation."

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