CONFÉDÉRATION NATIONALE DES ASSOCIATIONS AGRICOLES (C.N.A.A.)

Publié le par histoire-agriculture-touraine

CONFÉDÉRATION NATIONALE DES ASSOCIATIONS AGRICOLES (C.N.A.A.)

AUGÉ-LARIBÉ Michel, La politique agricole de la France de 1880 à 1940, Presses Universitaires de France, 1950. 483 p.
p. 441-444
 

A. - CRÉATION DE LA CONFÉDÉRATION NATIONALE [C.N.A.A.]
L'union sacrée du temps de guerre avait rendu possible un rapprochement, même une communauté d'action des associations agricoles qui auparavant s'opposaient. La guerre finissant, on désira maintenir l'union dans l'espoir qu'elle donnerait quelque force aux agriculteurs. Le premier "Congrès de l'agriculture française" s'ouvrit à Paris le 30 juin 1919, sous la présidence d'Émile Loubet. Cinq questions montrent quelles étaient à ce moment les principales préoccupations des agriculteurs : reconstitution agricole des régions libérées ; situation du cheptel national ; organisation de la défense et de la représentation professionnelle de l'agriculture ; problème de la main-d’œuvre agricole ; production coloniale agricole et besoins de la métropole.
Ce qui excitait le plus les curiosités, et déjà les passions, c'était l'organisation de la représentation.  J.-H. Ricard en était le rapporteur. Il y fallait beaucoup de souplesse et d'habileté diplomatique. Il n'en manquait pas. Au fond, les associations désiraient bien créer une grande organisation de l'agriculture "pour donner à cette profession la place à laquelle elle a droit dans la nation" ; mais les unes souhaitaient affaiblir la vieille Société de Agriculteurs de France et les autres ne voulaient pas passer sous l'obédience de la maçonnique Société d'encouragement à l'agriculture. La guerre était finie, on allait pouvoir recommencer à se disputer entre Français.
D'autre part, les associations de toutes sortes qui acceptaient de se grouper craignaient d'avoir à obéir à un organisme central. Elles voulaient conserver ce qu’elles appelaient leur indépendance. Celles qui n'avaient pas beaucoup plus qu'une existence nominale, sans effectifs ni ressources, n'avaient aucune envie de payer des cotisations quelque peu élevées. Pendant toute son existence d'à peine vingt années [1919-1936], la Confédération a souffert d'une médiocre organisation et d'une réelle pauvreté. Par méfiance, les constituants avaient accumulé les difficultés. Le président devait être pris par roulement dans chacune des associations et non rééligible à l'expiration de son mandat. Le secrétaire général nommé par le bureau ne devait être qu'un fonctionnaire chargé de l'exécution des décisions prises au bureau et le comité. Pour ne pas porter ombrage aux groupements régionaux la Confédération s'interdisait de recevoir des adhésions des associations départementales. Au fond, les agriculteurs ne redoutaient rien tant que d'avoir à sacrifier quelque peu de leurs intérêts particuliers à l'intérêt général de la profession ou à l'intérêt national. Donc, aucune articulation entre les groupes, pas de hiérarchie, pas de commandement.
Pendant quelque temps, J.-H. Ricard et Jules Gautier ont alterné à la présidence. Le premier secrétaire général a été M. Henry Girard. Puis on a dû à plusieurs reprises retoucher les statuts pour garder le président Gautier. J'ai été le secrétaire général pendant une dizaine d'années [1926-1936].
Par sa constitution la C.N.A.A. ne pouvait être l'organisme de combat que la plupart des associations agricoles souhaitaient. Elle ne représentait pas une volonté unanime et simplifiée. Si je ne me trompe, elle a été, dans les conditions difficiles où elle agissait, une bonne organisation de défense des intérêts. Trop faible pour menacer, elle a expliqué et plaidé. Elle a réclamé ce qui était dû aux agriculteurs, en montrant par une argumentation sérieuse pourquoi cela leur était dû. Et elle a obtenu des résultats. Ses interventions pour le rétablissement d'une moindre inégalité douanière, ses mises au point sur les responsabilités dans la cherté de la vie, ses participations aux grandes conférences internationales ou au Conseil national économique ont donné à la profession agricole dans la société française une place qu'on ne lui accordait pas avant la guerre. On peut relire encore la plupart des rapports qu'elle a fait présenter aux Congrès de l'agriculture sans avoir à rougir d'y trouver des excès démagogiques. Les discussions qui les ont suivis ne montrent pas toujours autant de mesure ; mais des outrances individuelles, elle n'est pas responsable. Comme bureau de renseignements et de documentation, publiant chaque semaine un bulletin destiné à être recopié ou paraphrasé par les journaux des associations régionales, elle a certainement amélioré la connaissance des questions agricoles et elle a monté aux agriculteurs la place réelle qu'ils avaient le droit de revendiquer.

B. – DISPERSION DES ASSOCIATIONS SPÉCIALISÉES
Conciliation et collaboration, mesure et exactitude, cette politique de la C.N.A.A. ne pouvait plaire à tous les agriculteurs, en particulier à ceux qui se sont fait gloire d’être des « praticiens ». Le métier des agriculteurs comporte une assez grande dépense d’énergie physique, l’obligation de vaincre des obstacles matériels, souvent plus de brutalité que d’adresse. Ils en arrivent à aimer la lutte pour elle-même, à exiger tout leur dû et même un peu plus, à ne pas se soucier beaucoup des autres. Le fermier de la région parisienne qui cultive du blé et des betteraves ne veut pas perdre son temps à penser aux vignerons, forestiers ou horticulteurs. Et il croit que pour se faire écouter il faut frapper du poing sur la table.
En 1924, un gros exploitant de Seine-et-Marne, René Aubergé eut l’idée de constituer pour les producteurs de blé une association qui ne s’occuperait que du blé. C’était une conception bien discutable. Car il n’y a pas de producteur de blé qui ne produise aussi autre chose, des céréales secondaires, des betteraves ou des pommes de terre, des fourrages et des animaux pour la viande et le lait. Mas dans ces grandes exploitations de la Brie, le blé fournit la plus grosse part des recettes ; il est le signe de la prospérité ou des déboires agricoles. René Aubergé eut la chance de rencontrer un jeune ingénieur agronome, Pierre Hallé, qui se mit à la tâche avec une ardeur et un dévouement peu communs. Ayant, lui aussi le goût de la bataille, il fonça droit devant lui. Il prit contact avec les auditoires paysans jusque dans les petites localités. Partout on entendit parler de l’A.G.P.B. [Association Générale des Producteurs de Blé], beaucoup plus que la trop réservée C.N.A.A. 
Alors les « associations spécialisées » se multiplièrent : association générale des producteurs de viande, confédération générale des planteurs de betteraves, confédération générale des producteurs de fruits à cidre, association générale des producteurs de lin, confédération générale des producteurs de lait, des producteurs d’animaux de basse-cour, des producteurs de pommes de terre. Les unes et les autres, en se créant, n’avaient pas décidé de faire sécession. Elles se sont inscrites à la C.N.A.A. et lui ont fourni la collaboration la plus utile. Leurs organisateurs pensaient seulement qu’on n’est bien servi que par soi-même. Une de ces associations, la Confédération générale des vignerons, dont le siège est à Narbonne, a éprouvé un moment, le besoin de quitter la Confédération nationale [C.N.A.A.], puis elle y est revenue. On n’a jamais compris pourquoi. Sans doute parce qu’on n’avait pas fait à Paris exactement ce qu’elle voulait. Plusieurs associations dites de gauche, guidées par MM. Paul Vimeux et Bracher, ont abandonné une union dont la discipline leur pesait, plus encore pour des intérêts personnels que pour des rivalités politiques.
Ainsi, au lendemain de la guerre, l’agriculture a entrepris un effort pour améliorer son organisation professionnelle. Ce fut presque un échec. Il y a trop de fragmentation d’opinions et d’intérêts parmi les agriculteurs pour qu’ils puissent former un corps homogène, opposant une grosse masse d’électeurs aux puissances d’argent de l’industrie et du commerce. C’est la conséquence de l’extrême diversité des productions agricoles. Un producteur de blé de l’Aisne n’a pas les mêmes habitudes, les mêmes techniques, ni complètement les mêmes intérêts qu’un producteur de blé du Tarn ou du Gers. Un vigneron languedocien n’est guère comparable à un bourguignon. L’unité française est faite sur le plan national ; elle ne l’est pas dans le domaine économique.

 

1919

Journal d'Agriculture pratique 1919, p. 472-476

CONGRÈS DE L’AGRICULTURE FRANÇAISE
Paris du 1er au 3 juillet 1919

p. 474

Séance plénière du jeudi matin 3 juillet 1919
Organisation de la défense et de la Représentation professionnelle de l'Agriculture. - La séance est présidée par M. Fernand David, député, ancien ministre, assisté du Président Loubet, de M. de Vogüé, de M. Tisserand et de M. Ricard, rapporteur. 
Le rapporteur expose la nécessité de la création d'une Confédération agricole.

M. Vimieux demande la transformation de ce titre en celui de Confédération nationale des Associations agricoles, C.N.A.A. Cet amendement est adopté.

[...]

M. Pallu de la Barrière expose l'historique de la Confédération générale agricole (CGA) qui groupe de nombreux adhérents, et craint que le nouvel organisme ne détruise la C.G.A. naissante. 
M. Fernand David lui répond en exposant que l'Agriculture a fait, au point de vue national, plus que les autres classes sociales ; il affirme la nécessité absolue de s'unir.

[...] 

Enfin, de nombreuses sociétés donnent aussitôt leur adhésion à la Confédération nationale des Associations agricoles : la Société des Agriculteurs de France (par l'organe de M. de Vogüé), la Société nationale d'Encouragement à l'Agriculture (M. le Président Loubet), la Fédération des Syndicats du S.-E. (M. de Fontgalland), la Fédération des Syndicats du S.-O. (M. Couzinet), la Société des Viticulteurs (M. Tisserand), la Fédération de la Mutualité, la Société nationale d'Horticulture, etc. (M. Vigier), l'Union centrale des Agriculteurs de France, etc. Enfin M. Heinrich promet l'adhésion prochaine des Associations agricoles et viticoles d'Alsace et Lorraine. 

1919

La Dépêche, mardi 8 juillet 1919
Page 105

Au Congrès de l'agriculture
Le congrès de l'agriculture qui vient de tenir ses assises à Paris [30 juin au 3 juillet] a nommé une commission permanente de la Confédération Nationale des Associations agricoles [C.N.A.A.], chargée d'étudier et de mettre en œuvre toutes voies d'action des intérêts agricoles. 
Nous rappelons avec plaisir que notre distingué collaborateur, M. Auguste Chauvigné, dont la haute autorité agricole se trouve ainsi recevoir un juste hommage, à été nommé membre de cette commission, au titre de vice-président de la Confédération des associations viticoles régionales
Rappelons que M. Auguste Chauvigné fait également partie du conseil de direction de la société des viticulteurs de France 

1919

Histoire de la France rurale, Sous la direction de Georges Duby et Armand Wallon, La fin de la France paysanne de 1914 à nos jours, Tome 4, Seuil, 1978

p. 400-401
La dénonciation du « danger marxiste » semble suffisante, au lendemain de la Première Guerre mondiale, pour rassembler les adversaires d’hier [Société des Agriculteurs de France, de Droite, fondée en 1967 [présidée par Louis de Vogüé] vs. Société nationale d’encouragement à l’agriculture, de Gauche, fondée en 1880 par Gambetta] et pour institutionnaliser l’union sacrée. Les dirigeants professionnels des deux camps affirment la nécessité d’un rassemblement de toutes les énergies au service d’une agriculture momentanément affaiblie, mais qui doit retrouver la première place dans la nation. Pour atteindre cet objectif ils décident de taire leurs querelles et s’engagent à trouver un langage commun. C’est ainsi que, sous la présidence d’Émile Loubet, s’ouvre à Paris le 30 juin 1919 le congrès de l’agriculture française qui propose la création de la Confédération nationale des associations agricoles (CNAA).

[…]

M. Augé-Laribé, qui a été secrétaire général de CNAA, explique cet échec par la médiocrité des moyens et la complexité de la structure. En réalité, si la division du mouvement professionnel paysan persiste dans l’entre-deux-guerres, c’est parce que les forces qui le contrôlent et l’animent n’ont pas une vision identique de l’organisation sociale à la campagne et dans la société globale. La similitude des langages masque l’existence de plusieurs idéologies agrariennes qui de concurrencent et qui ne sont pas réductibles l’une à l’autre. Etc…
 

1920

La Dépêche du Centre et de l’Ouest, lundi 5 avril 1920
P.141
CHÂTEAURENAULT 
Une conférence. 

Sollicité par un grand nombre de notabilités agricoles du canton, M. Jules Gauthier, président de la Confédération nationale des Associations agricoles de France, à bien voulu accepter de venir faire une conférence qui aura lieu à Châteaurenault, salle du théâtre, le mardi 6 avril prochain, à 2 heures (heure légale), et qui sera placée sous les auspices des Sociétés et Syndicats agricoles du canton. 
L'éloquence de M. Jules Gauthier, l'autorité qu'il tient de ses hautes fonctions, le dévouement qu'il a toujours mis au service de la cause rurale sont les plus sûrs garants du succès de cette conférence au cours de laquelle nous aurons également la bonne fortune d'entendre M. Martin, notre distingué directeur des services agricoles du département. 

La Dépêche du Centre et de l’Ouest, lundi 19 avril 1920
p. 161
CHÂTEAURENAULT 
Conférence 

La conférence organisée le mardi 6 avril par les syndicats agricoles du canton a pleinement réussi. C'est devant un auditoire de plus de 400 cultivateurs que parlèrent successivement MM. Gauthier et Martin, tous deux applaudis avec cordialité. 
M. Jules Gauthier est président de la C.N.A.A. Il symbolise en quelque sorte l'effort de regroupement qui se propage actuellement à travers nos campagnes. Son éloquence, d'une simplicité familière, et choisie, charme et convainc, elle s'harmonise avec la pensée de ceux qu'il représente et dont elle traduit clairement les aspirations. Le sujet qu'il développa était vaste. Il voulut montrer par l'examen de la situation politique et économique de l'Europe, profondément troublée encore par le cataclysme mondial, que nos paysans ont toute raison de garder une confiance absolue dans les destinées de notre pays. L'agriculture constitue sa meilleure réserve de forces saines et agissantes. Cependant un devoir s'impose à nos cultivateurs : celui de s'unir, de fédérer leurs associations, de façon à former un bloc compact et à faire entendre leur voix en haut lieu par le canal de la C.N.A.A. Ils ont en même temps, le devoir impérieux d'intensifier leur production pour permettre le relèvement plus rapide de notre pays. Là est le salut. Et dans une péroraison magnifique, saluée de bravos enthousiastes, M. Gauthier invoque notre France, initiatrice généreuse des autres nations, se devant à elle-même, à son prestige anobli par le sang de ses soldats, de marcher la première dans la voie du progrès, d'un progrès accompli dans l'ordre et la paix. 
À M. Martin était échu la tâche ingrate de matérialiser, pour ainsi dire, les conseils de l'orateur précédent. Il le fit avec son dévouement habituel, en s'excusant auprès de ses auditeurs de les ramener à des sujets plus terre à terre. Avec des chiffres il fit ressortir la faiblesse de nos rendements par comparaison avec ceux des autres contrées. Il insista sur la culture intensifiée du blé et de la pomme de terre, éléments essentiels à l'alimentation, en indiquant les méthodes les plus judicieuses de sélection et de production. Il se joignit à M. Gauthier pour recommander aux cultivateurs présents l'association sous toutes ses formes : groupements pour l'achat des engrais et des machines, caisses de crédit mutuel, syndicat d'élevage, etc. Son appel ne restera pas vain. 
M. Delamotte, maire de Châteaurenault qui, en quelques mots aimables avait présenté les conférenciers, tint à exprimer également la reconnaissance profonde que les agriculteurs du canton garderaient à M. Gauthier pour être venu leur apporter le mot de ralliement et de confiance, à M. Martin, prodigue de son temps et de ses forces, pour la plus grande prospérité de l'agriculture tourangelle.
Nos félicitations aux organisateurs et en particulier à MM. Aron [Henri, père d'Emile Aron] conseiller d'arrondissement, Joran, Halteau, Navarre, Mahoudeau, Richaudeau, Touzard, Lepêche Émile, etc., etc., pour la réunion qui fût, comme ils l'avaient souhaité, une manifestation imposante.
 

1920

La Dépêche du Centre et de l'Ouest, lundi 10 octobre 1920

M. Ricard à Angers

A transcrire

1921

Articles parus le bimensuel, L’Agriculture de Touraine, ADIL cote 2138PERU1

L’Agriculture de Touraine, 25 mars 1921
Qu'est-ce que la C.N.A.A. ?
I. L'organisation professionnelle de l'agriculture

Terriens de France, nous sommes une armée par le nombre, puisque malgré les irréparables pertes causées par la grande guerre, les statisticiens s'accordent à dire qu'il y a encore 2 à 3 millions d'hommes travaillant le sol. Le prochain recensement de 1921 nous renseignera d'ailleurs plus exactement.
Terriens de France, nous sommes les plus grands faiseurs de richesses nationales, puisque nous produisons pour des dizaines de milliards de denrées nécessaires à la vie, du lait, du vin, etc...
Représentant une si grande force et une telle masse d'intérêts dans le pays, quelles sont les organisations instituées pour nous aider à produire, au point de vue pratique et au point de vue technique ; quelles sont les organisations instituées pour représenter notre industrie et pour défendre le marché de nos produits près des Pouvoirs publics et des consommateurs ?
Au Gouvernement, il y a le ministre de l'Agriculture, mais il est seul avocat des cultivateurs, entouré de 14 collègues chargés d'autres départements ministériels où les points de vue sont souvent en opposition avec les nôtres.
Au parlement, nous avons des amis à la commission d'agriculture de la Chambre et du Sénat, aux groupes d'élus cultivateurs, aux groupes de défense paysanne. Ils sont nombreux, mais tous ne sont pas absolument au courant de notre profession. Toutefois apprécions la sympathie qu'ils veulent bien nous manifester.
Le ministre de l'Agriculture et son sous-secrétaire d'État, quand il en existe un, dirigent l'administration qui a pour mission de nous aider par ses services centraux et ses agents extérieurs.
Elle ne manque pas à cette tâche, mais sans compter que des réformes administratives ont été proclamées justement nécessaires par plusieurs ministres et par plusieurs rapporteurs du budget de l'agriculture, le ministre, malgré les suffrages favorables que peut recueillir la cause agricole au Parlement n'obtient pas les crédits en rapport avec l'importance de la production nationale : moins de 50 millions avant la guerre, moins de quatre fois plus en 1920, et encore les administration d'Etat (forêts et haras) absorbent elles une bonne part de ce budget.
À côté de l'œuvre que peuvent contribuer à édifier Gouvernement et Parlement, se dresse la plus féconde, celle des institutions professionnelles, aidées ou non par les Pouvoirs publics, sans parler de l'Académie d'agriculture composée de l'élite du pays préoccupée de questions agraires. Ces institutions comprennent les syndicats pour améliorer les conditions d'achats et de vente, les caisses de crédit pour compléter les ressources insuffisantes des cultivateurs, les Associations Mutuelles d'Assurances contre tous les risques : incendie, accident, grêle, les sociétés d'agriculture et comices.
Quels qu'ils soient, ces groupements étendent leur action sur des zones diverses. Tantôt ils incluent tous les intérêts agricoles de tout le pays, comme à la puissante Société des Agriculteurs de France, qui compte 12 000 membres et a un budget absolument autonome de plusieurs centaines de mille francs ; tantôt ils ne visent qu'un objet comme la Société nationale de la Protection de la main-d’œuvre agricole. Parfois c'est une union qui groupe les syndicats et les fédérations régionales de syndicats, telle l'Union Centrale ; tantôt c'est une fédération nationale qui sert de lien entre les organismes de même nature, comme pour la Fédération Nationale de la Mutualité et de la Coopération.
Ainsi, sous les formes les plus variées, au sein de la commune, jusque pour la France entière, les terriens se sont groupés depuis longtemps afin d'échanger leurs vues, afin de s'aider et de se renseigner mutuellement, afin de réparer la faiblesse résultant de leur éparpillement quand il s'agit de défendre leurs intérêts.
(À suivre)

L’Agriculture de Touraine, 10 avril 1921
Qu'est-ce que la C.N.A.A. 
II.
Ses lacunes, comment les combler ?

Dès avant la guerre, quelques hommes dévoués à l'agriculture ayant un sentiment très élevé et très vif de nos intérêts professionnels, regrettaient qu'il n'y eût pas de cohésion suffisante entre les nombreuses forces corporatives existant dans notre pays. Elles travaillaient isolément et ne donnaient à aucun point de vue le rendement correspondant à l'importance de la production agricole nationale.
Depuis 1914 les secousses sociales se sont succédé avec une violence telle que personne ne pouvait la prévoir. Le monde rural a été particulièrement éprouvé par la guerre. Il a été aussi le seul à souffrir des réquisitions souvent malheureuses, ceci sans compter les mortelles épreuves supportées par nos collègues des régions dévastées.
D'autre part, la France, qui se suffisait à elle-même, a vu sa production diminuer rapidement et par conséquent sa dépendance économique vis-à-vis des autres pays s'accroître lourdement d'année en année. Tous les Français ont donc été amenés à considérer davantage les questions sous leur aspect mondial, à voir de plus haut et plus grand. Le fait que nos soldats cultivateurs ont parcouru les diverses régions souvent l'étranger, n'a pas peu contribué à élargir leurs conceptions d'antan.
Dans ces conditions, les luttes sociales particulièrement aiguës aidant, il apparût à tous les cultivateurs qu'il fallait s'armer en proportion des nécessités nouvelles, faisant trêve à des divisions plus apparentes que réelles, pour former un bloc rural auquel les autres éléments économiques de la nation puissent s'adresser pour résoudre les problèmes agraires d'ordre national ou international. On s'était coudoyé pendant quatre ans à l'avant, aux tranchées, à l'arrière dans les commissions, les comités et les conseils, il n'y avait que de bonnes raisons pour continuer. Il n'y a pas de trop de tout l'équipage pour sauvegarder le navire dans la tempête. Le même mouvement de concentration avait lieu ailleurs, dans d'autres pays notamment en Suisse, en Belgique, aux Etats-Unis où les cultivateurs représentaient de plus en plus la force démocratique saine, susceptible de permettre aux peuples de reprendre leur aplomb. Et puis, ayant l'intuition que de lui et de lui seul dépendait le salut, le monde rural réclamait une place en rapport avec les services rendus.
La question était de savoir comment créer un lien entre les groupements dont l'ancienneté prouve la vitalité et à la tête desquels se trouvent des hommes qualifiés pour rester nos chefs de file. Persuadés de la nécessité de créer un trait d'union, les dirigeants de chaque association cherchaient à éviter une superposition ou un double emploi.
On ne pouvait espérer fusionner des associations très différentes du Midi, du Nord, de l'Est et de l'Ouest, pas plus qu'il ne fallait songer à voir telles société centrale se fondre avec une aînée.
Il eût été possible d'instituer simplement une sorte de grand conseil des groupements se réunissant périodiquement d'une manière officieuse, n'ayant ni dénomination, ni statuts, ni règlement. On y aurait échangé des vues sur les problèmes d'actualité, on y aurait pris le mot d'ordre à propager dans les divers milieux. C'était insuffisant à plusieurs points de vue.
En premier lieu, l'expérience prouve que les forces que les circonstances agrègent, s'effritent bien vite, quand aucun ciment ne les agglomère pour longtemps. Que de beaux projets ont vu le jour sans pouvoir être suivis de réalisation, faute d'organisations susceptibles de les mettre en œuvre.
Ensuite, il fallait tenir compte d'une tendance créée par les évènements, du besoin de se ranger, selon la profession, atour d'un drapeau. Or, un drapeau dans l'ordre économique, c'est une raison sociale, c'est un nom.
Le trait d'union des Association agricoles devait donc en avoir un, symbolisant non la lutte de classes arbitrairement divisées dans certains milieux, en oisives ou exploitantes et en laborieuses ou exploitées, mais symbolisant au contraire, l'union de tous aux champs pour la défense de leurs droits et la recherche du progrès.
(À suivre)


L’Agriculture de Touraine, 25 avril 1921
Qu'est-ce que la C.N.A.A. ?
III.
La C.N.A.A.
Quand et comment elle est née.

C'est dans ces conditions qu'au début de 1919 le Président de la Société Nationale d'encouragement à l'Agriculture, M. Émile Loubet, prit l'initiative de grouper un Comité d'organisation chargé de de préparer les États Généraux de l'Agriculture après les années d'épreuves qui venaient de s'écouler. Tous les groupements répondirent à son appel, et cette marque de solidarité était déjà d'excellent augure.
Aussi ne fut-on pas surpris de voir près de 800 représentants de toutes les régions en juillet 1919 dans la grande salle que la Société nationale d'Horticulture avait bien voulu mettre à la disposition des agriculteurs.
M. Victor Boret, ministre de l'Agriculture, tint à présider lui-même la première séance, assisté de tous les anciens ministres, des représentants de l'Alsace-Lorraine, des délégués du Grand-Duché du Luxembourg, etc. Ce n'est pas tout : trois jours après, lors de la clôture des travaux, M. Poincarré, Président de la République, venait en personne témoigner de sa sympathie au monde rural qui prenait ainsi conscience de sa force et du rôle qu'il devait jouer pour assurer la paix sociale en France.
Par ailleurs, les principales questions à l'ordre du jour étaient traitées d'une manière approfondie, qu'il s'agisse de la reconstitution agricole des régions libérées, de la situation du cheptel, de la main-d’œuvre agricole, de la production coloniale agricole, etc. Malgré le fond du congrès, si on peut s'exprimer ainsi, résidait dans l'étude des moyens de défense, d'organisation et de représentation professionnelles.
M. Fernand David, le dévoué ancien ministre de l'Agriculture présidait aux débats que M. J.-H. Ricard, ingénieur agronome, syndicaliste convaincu, l'aidait à résumer. Les conclusions de ce dernier sur cette importante question furent lumineuses, exposées avec tant d'éloquence qu'elles entrainèrent l'adhésion unanime des congressistes aux principes d'une Confédération nationale des Associations agricoles.
Celui qui les présentaient se trouvait mis en vedette au point que M. Millerand, devenu Président du Conseil, devait être tout naturellement amené à lui proposer le Portefeuille de l'Agriculture. Ainsi le monde rural a obtenu une grande satisfaction. Le Champion du Congrès, l'élu de ses pairs, faisait partie du Gouvernement...
Tenue du Congrès National, création de la C.N.A.A., nomination du ministre de l’Agriculture ont été les trois étapes d'une grande victoire agricole. Il fallait le rappeler pour se souvenir, que toujours, en poursuivant une action méthodique avec intelligence et obstination, une corporation peut faire prévaloir un point de vue juste.
Mais revenons au premier des congrès annuels de l'Agriculture, berceau de la Confédération. À peine était-il terminé, qu'elle était mise sur pied, unissant désormais les groupements professionnels dont la circonscription territoriale s'étend à toute la France et les groupements professionnels à circonscription d'une étendue vraiment régionale ayant déjà réalisé une union d'Associations, d'organisations ou d'intérêts agricoles dans cette circonscription.
Les délégués de ces groupements se réunissent périodiquement au siège social, autour du Président, nommé chaque année, dans le but d'établir, sur toutes les questions dans lesquelles les intérêts de la profession sont en cause une harmonie de vues aussi étroite que possible, en laissant à chaque association le soin de poursuivre la réalisation des décisions prises suivant ses propres moyens et en toute autonomie.
La Confédération synthétise auprès du Gouvernement et du Parlement l'opinion du monde agricole permettant à ce dernier d'être entendu à temps et facilitant aux Pouvoirs publics les consultations nécessaires à la bonne marche des affaires.
En outre, elle organise annuellement les Congrès de l'Agriculture, qui se tiennent tour à tour dans les centres régionaux les plus importants. C'est ainsi qu'après le Congrès de Paris, le deuxième Congrès s'est tenu à Tours, et qu'il a actuellement lieu à Alger.
(À suivre)


L’Agriculture de Touraine, 10 mai 1921
Qu'est-ce que la C.N.A.A. ?
IV.
Ses adhérents

Quatre natures de groupements ont adhéré jusqu''à présent à la C.N.A.A. : 
1° des Sociétés s'étendant sur la France entière, et connaissant toutes les questions agricoles, telles la Société des Agriculteurs de France ou la Société d'encouragement à l'Agriculture ;
2° des groupements nationaux concentrant leur activité sur une seule branche ou régionales la production, telles la Société nationale d'Horticulture ou la Société des Viticulteurs de France ;
3° des fédérations régionales d'associations agricoles, telle la fédération des Agriculteurs du Centre, ou l'Union des Associations agricoles du Plateau central :
4° des Unions nationales ou régionales de syndicats agricoles, telles l'Union centrale des syndicats des Agriculteurs de France ou l'Union du Sud-Est des Syndicats agricoles, la Fédération régionale agricole du Centre.
Les groupements nationaux d'ordre général ou particulier, les fédérations régionales d'associations, les unions nationales ou régionales de syndicats entrent à peu près chacune pour un tiers dans le total.
Il y a déjà bon nombre de groupements nationaux à but déterminé : la production chevaline, l'horticulture, la main-d’œuvre, et il semble que ce genre d'association corresponde bien aux tendances actuelles de spécialisation dans l'effort afin de rendre ce dernier plus efficace et d'instruire davantage les affiliés sur une question déterminée, importante pour eux à connaître à fond. D'ailleurs, d'autres pays nous donnent l'exemple. En Suisse, les producteurs de lait sont associés ; aux États-Unis, les planteurs de coton, de pommes de terre, les éleveurs de telle ou telle race etc... En France, dans les régions de monoculture, dans les régions de vigne surtout, où la partie commerciale de l'exploitation joue un grand rôle, on a compris l'avantage à tirer de ces associations spécialisées.
Il vient de se constituer une fédération des syndicats de motoculture. Il est question maintenant d'union entre les producteurs de lait, de laine, etc... Plus les classes rurales seront méconnues, plus elles auront tendance à s'unir.
Sans doute, la propagande faite actuellement sur les Herd-books, pour la sélection des races et la délimitation des centres d'élevage, contribuera-t-elle à grouper les spécialistes du bétail. De même les nécessités du ravitaillement en blé et les mesures subies par les cultivateurs des fermes à céréales en 1914, amèneront certainement ces derniers à consacrer plus particulièrement leurs efforts à l'amélioration technique et à la défense économique des cultures qui constituent le pivot de leurs entreprises.
Nous avons tenu à rappeler ces idées générales afin de faciliter la création de fédérations reconnues nécessaires et susceptibles de compléter efficacement le faisceau des intérêts agricoles représentés à la C.N.A.A.
Qu'il nous suffise d'indiquer encore combien les notions de décentralisation et de régionalisme sont en faveur à la Confédération. C'est ainsi que le bureau confédéral est composé pour deux tiers des délégués des diverses régions et pour un tiers seulement de représentants des Sociétés centrales ayant leur siège à Paris. C'est bien là l'application du principe qu'en matière agricole la province doit imposer ses vues à la capitale, au lieu qu'autrefois le contraire était trop souvent la règle. À la C.N.A.A., il n'y a pas d'investitures permanentes, il n'y a de permanente que l'action confédérale.
On peut affirmer que toutes les régions de France se trouvent aujourd’hui représentées à la Confédération. Elles ne le sont pas encore assez complètement, sans doute, mais elles le sont. Les efforts doivent se porter surtout vers la consolidation de la charpente formant le soutien de la C.N.A.A. et vers l'éclosion de groupements spécialisés dans telle ou telle tranche de l'économie rurale, car il faut plus de technicité à notre œuvre professionnelle.
(À suivre)

L’Agriculture de Touraine, 26 mai 1921
Qu'est-ce que la C.N.A.A. ?
V.

Ce que la C.N.A.A. a fait : ce qu'elle veut faire.
Ce qu’elle a fait ? Mais pour le rappeler, il faudrait énumérer toutes les questions agricoles qui depuis sa constitution ont été soulevées au Parlement, qu'il s'agisse des Chambres d'agriculture, de l'impôt sur les bénéfices agricoles, de la taxation des céréales panifiables, de la potasse d'Alsace, des poursuites injustifiées contre les producteurs de lait, etc., etc...
Il faudrait énumérer aussi toutes les mesures administratives prises trop souvent, hélas ! par divers départements ministériels, à l'encontre des intérêts et de la liberté de l'industrie agricole.
Il faudrait rappeler sa large propagande en faveur de ce qui peut contribuer à relever la France, soit quand elle fait appel aux citoyens pour emplir le Trésor obéré, soit quand elle cherche les points d'appuis nécessaires pour maintenir l'ordre et pour assurer la paix sociale.
Faut-il encore évoquer l'ampleur des manifestations de Paris en 1919 et de Tours en 1920 et insister sr l'intérêt des congrès d'agriculture dont les comptes rendus sont comme le tableau annuel, permettant d'embrasser d'un seul coup d'œil la situation agricole du pays et les préoccupations des producteurs.
La tenue de ces assises marque un progrès considérable dans les manifestations de l'organisation corporative. En effet, nul n'y peut voter s'il n'est muni de mandats en nombre proportionnel à l'importance du groupement représenté. L'expérience aidant, ces assemblées seront de plus en plus disciplinées. Les méthodes de discussion s'amélioreront toujours et les conclusions prises en toute réflexion et en toute responsabilité auront de plus en plus de pois près des Pouvoirs publics d'une part, près des cultivateurs isolés aux quatre coins de la France de l'autre. Si la C.N.A.A. peut regarder le passé avec quelque fierté, elle envisage l'avenir comme un général étudie le terrain où devra se dérouler la bataille, sachant l'objectif qu'il entend atteindre.
Elle veut que les cultivateurs produisent le plus possible et que tous les progrès techniques soient connus de tous, appliqués partout. Elle veut que les consommateurs soient abondamment pourvus, elle préconise le travail, l'effort efficace, mais elle réclame en même temps pour les cultivateurs la légitime rémunération de leur labeur, pour eux ; pour les collaborateurs les plus humbles, une vie plus relevée, un confort social plus grand, en rapport avec les services rendus en paix aujourd'hui, en guerre hier.
Afin de lui donner les moyens de faire prévaloir les vues du monde agricole et de s'outiller en proportion de la tâche à remplir, elle demande à ses affiliés les ressources nécessaires. Ces derniers doivent donc faire comprendre à tous les cultivateurs syndiqués qu'une cotisation proportionnelle à leurs intérêts terriens doit alimenter la masse commune.
Avec des ressources, et elle en aura, la C.N.A.A., ne trahira pas les espérances de ses fondateurs, les Méline, les Vogüé, les Loubet, les Tisserand, les Ricard, les Heinrich, les Fontgaland, les Riverain, les Gavoty, les Viger, les Fernand David et tant d'autres qui forment l'élite agricoles française. Elle a l'avenir devant elle et les hommes ne lui manqueront pas.
Henry GIRARD
Secrétaire général de la C.N.A.A.
 

1919-1936

Journal d'Agriculture pratique du 9 Janvier 1937, p.41

Président : Jules GAUTIER

"En 1919, sur l'initiative des grandes Sociétés d'Agriculture, un grand Congrès se réunit à Paris, en vue de jeter les bases d'une Fédération nationale où toutes les Associations agricoles de France, oubliant leurs rivalités d'avant la guerre, s'uniraient pour travailler ensemble à la sauvegarde des intérêts ébranlés de l'agriculture. Et ce fut vraiment une révélation, quand nous le vîmes paraître à la tribune et que nous l'entendîmes développer avec force et clarté, avec l'autorité que donne une conviction sincère, qui lui étaient déjà chères, et pour lesquelles il a lutté jusqu'à son dernier jour.
Ainsi naquit, sous la forte impression produite par sa parole persuasive, la Confédération Nationale des Associations agricoles. Jules Gautier se vit aussitôt confier et renouveler en 1922 après une interruption de deux ans, alors réglementaire, les fonctions de Président  ; et, sur nos instances répétées et peut-être indiscrètes, il accepta toujours de conserver cette charge dont la mort seule a pu le délivrer."

1925

Journal d'Agriculture pratique 1925
17 octobre 1925

p. 307
Congrès de l'Agriculture française 
Le compte compte-rendu du septième Congrès de l'Agriculture, tenu à Rouen, au mois de mai dernier vient de paraître. etc...
 

1933

Journal d'Agriculture pratique 1933
p. 38-40

LE QUINZIÈME CONGRÈS DE L'AGRICULTURE FRANÇAISE 
Le quinzième Congrès de l'Agriculture française, organisé par la Confédération Nationale des Associations agricoles (C.N.A.A.) vient de se tenir à Blois, les 26, 27, 28 et 29 juin, sous la présidence de M. Jules Gautier
[...]
M. Decault, président de la Chambre d'Agriculture du Loir-et-Cher, ouvrit le Congrès 
[...]
M. Augé-Laribé, secrétaire général de la C.N.A.A., a la parole pour le compte compte-rendu annuel.
[...]
La question du blé fût le thème principal du Congrès 

1920

ADIL 3F125 (Thèse de Christiane Mora 1967, sur les Chambres d'agriculture)

LISTE DES GROUPEMENTS ADHERENTS - CONFÉDÉRATION NATIONALE DES ASSOCIATIONS AGRICOLES – 1920
Extrait des Associations basées en Indre-et-Loire en 1920
Listes des groupements adhérents et de leurs délégués

Association Mutuelle d'Assurance contre la Mortalité du Bétail d'Ingrandes et communes environnantes (Indre-et-Loire). - (M. Adolphe Perret, Président)

Association de la Presse Agricole, 34, rue de Lille, Paris (7e) - MM. J.-B. Martin, Directeur des Services agricoles à Tours ; Vézin, Directeur des Services agricoles, à Blois.)

Association Syndicale d'Assurances Mutuelles contre la Mortalité du Bétail de la Chapelle-sur-Loire (Indre-et-Loire). - (M. Loiseau Delanoue, Maire de la Chapelle-sur-Loire)

Assurance Mutuelle Agricole Accidents de Hommes (Indre-et-Loire) - (M. Gautier Huet, à Hommes)

Assurance Mutuelle Agricole contre les Accidents de Saint-Branchs (Indre-et-Loire). - (M. Joseph Laffond, à Saint-Branchs)

Assurance Mutuelle contre les Accidents Agricoles de Marcilly-sur-Maulne, par Chaunay (Indre-et-Loire). - (M. Robert, Président, à Bel-Air, par Marcilly-sur-Maulne)

Assurance Mutuelle contre la Mortalité du Bétail de la commune des Hermites (Indre-et-Loire). - (M. Eugène Navarre, Maire des Hermites)

Assurance Mutuelle Locale Agricole contre les Accidents, Neuillé-le-Lierre (Indre-et-Loire)

Caisse Locale de Crédit Agricole Mutuel de Langeais (Indre-et-Loire). - (M. Gasnier, à Langeais)

Caisse Locale de Crédit Agricole Mutuel du canton de Bourgueil (Indre-et-Loire). - (M. Henri Ory, Président, à Saint-Nicolas de Bourgueil)

Caisse Locale de Crédit Agricole Mutuel du canton de Château-Renault (Indre-et-Loire). - (M. Mahoudeau, Maire à Saint-Nicolas des Motets (Indre-et-Loire)

Comice Agricole de Chinon (Indre-et-Loire). - (M. Germain, Président, à Saint-Michel-sur-Loire (Indre-et-Loire)
 

Comice Agricole de l'Arrondissement de Tours (Indre-et-Loire), 55, rue Nationale à Tours. - (MM. Alexandre Chataigner, à Joué-lès-Tours ; Henri Pinguet, à Saint-Symphorien ; Aron, au Boulay, par Château-Renault)

Comice de Loches, rue du Donjon, à Loches (Indre-et-Loire). - (M. Leroux, Président, rue du Donjon, à Loches)

Crédit Mutuel Agricole de Hommes (Indre-et-Loire). - (M. Albert Boutet, à Hommes, Indre-et-Loire)

Fédération des Associations Viticoles Régionales de France, 3, rue Marcelin Coural, Narbonne (Aude). - (MM. Elie Bernard, 20 boulevard du Collège, Narbonne ; Chaize, Secrétaire Général, à Roanne, Loire ; Chauvigné, à la Mésangerie, par Saint-Avertin (Indre-et-Loire)

Fédération Nationale de la Mutualité et de la Coopération Agricoles. 18, rue de Grenelle, Paris (7e). - (MM. Riverain, Poisson, Martin à Tours, Brière, Egasse à Chartres)

Laiterie Coopérative de Benais, au Moulin Piard, commune de Benais (Indre-et-Loire). - (MM. Penet-Villeroude, Président, à Ingrandes ; Alexandre Goisnard, à Benais ; Maxime Goisnard, à Benais ; Fouché Beunier, à Gizeux)

Laiterie Coopérative de la Fuye, par Hommes (Indre-et-Loire), - (MM. Théodule Campoyer, à Savigné-sur-Lathan ; Désiré Morcher, à La Briche, par Rillé ; Louis Boureau, au Prieuré, par Rillé)

Laiterie Coopérative de Ligueil (Indre-et-Loire). - (MM. Philippe Rondeau, à Ligueil ; Michau, à la Foucauderie ; Mouzay, par Varennes ; Menon, à Saint-Bault)

Laiterie Coopérative du Puits et des Sibylles à Cravant, par I'Isle-Bouchard (Indre-et-Loire) ; (M. Jules Bruneau, Président, à Cravant)

Laiterie Coopérative de Reignac (Indre-et-Loire. - (MM. Alphonse Menoux, Président ; Froger Chesne, Vice-Président, à Chavigny, par Chambourg (Indre-et-Loire)

Laiterie Coopérative de Sorigny, à Sorigny (Indre-et-Loire). - (MM. Louis Boutin, à Sorigny ; Louis Esnault, à Vauprécieux-Sorigny ; Paul Meunier, à la Tour, par Sorigny)

Laiterie Tourangelle Coopérative de la Chapelle-aux-Naux, par Langeais (Indre-et-Loire). - (MM. Florentin  Abrazay, La Chapelle-aux-Naux ; Florentin Goutard, La Chapelle-aux-Naux ; L. Chartier, à Azay-le-Rideau)

Mutuelle Agricole Tourangelle (Société Mutuelle Régionale de Réassurance contre les Accidents Agricoles), 96, rue Origet, Tours. - (MM. J.B. Martin, Directeur des Services Agricoles, Président, 96, rue Origet, Tours ; Germain, Conseiller général à Saint-Michel ; Proust, Député, à Neuillé-Pont-Pierre ; Barré (Octave), à Pernay ; Carré-Pays, à Hommes)

Mutuelle Bétail de Balesmes (Indre-et-Loire) "La Solidarité Agricole". - (M. Frédéric Tessereau, Président, à Balesmes par la Haye-Descartes)
 

Mutuelle Bétail de Cravant, par l'Isle-Bouchard (Indre-et-Loire). - (M. Davonneau-Lhuillier, à Briançon, commune de Cravant, par l'Isle-Bouchard)

Mutuelle Bétail "La Prévoyante" de la Riche-Extra près Tours (Indre-et-Loire). - (M. Damnet, Président, au Saugé, près la Riche)

Mutuelle Bétail "La Fraternelle" de Montlouis (Indre-et-Loire). - (M. Lorion, Président, à Montlouis)

Mutuelle Bétail de Villedômer (Indre-et-Loire). - (M. Gustave Brossard, aux Charmes, par Villedômer)

Mutuelle contre les Accidents du Travail, Cravant (Indre-et-Loire). - (M. Monxion-Sourdais, Président de la Mutuelle)

Mutuelle Locale Agricole d'Assurance contre les Accidents de Pocé (Indre-et-Loire). - (M. A. Breton, à Pocé)

Mutuelle Locale contre les Accidents du travail Agricole, La Chapelle-sur-Loire (Indre-et-Loire). - (M. Joseph Nicier, Propriétaire, à la Chapelle-sur-Loire)

Société d'Agriculture, Sciences, Arts et Belles-Lettres d'Indre-et-Loire, 14, rue des Halles, à Tours. - (M. Vavasseur, Député, Président, à l'Auberdière, par Vouvray (Indre-et-Loire)

Société d'Assurance contre les Accidents du Travail Agricole de Langeais et communes circonvoisines (Indre-et-Loire). - (M. Léon Petit, Propriétaire, au Frou, par Langeais)

Société d'Assurances contre la Mortalité du Bétail de Lignières et Communes Voisines (Indre-et-Loire). - (M. Emile Allard, Président, à Lignières)

Société d'Assurance contre la Mortalité du Bétail à Pocé (Indre-et-Loire). - (M. Pierre Leduc, à Pocé)

Société d'Assurance Mutuelle contre la Mortalité du Bétail de Bourgueil (Indre-et-Loire). - (M. Michain-Delanoue au Sablon, par Bourgueil)

Société d'Assurance Mutuelle contre la Mortalité du Bétail de Cigogné, par Reignac (Indre-et-Loire). - (M. L. Benoist, Président, à la Guinanderie, commune de Cigogné, par Reignac)

Société d'Assurance Mutuelle contre la Mortalité du Bétail de la Commune de Chinon (Indre-et-Loire). - (M. E. Coudrin, à la Fuge, par Chinon (Indre-et-Loire)

Société d'Assurance Mutuelle contre la Mortalité du Bétail de la Commune de Chisseaux (Indre-et-Loire). - (M. Charles Dorléans, Président, à Chisseaux)

Société d'Assurance Mutuelle contre la Mortalité du Bétail de la Commune de Langeais (Indre-et-Loire). - MM. Auguste Brisacier, à la Cueille-Minault, par Langeais ; Hilaire Sinson, à la Martinière, par Langeais)

Société d'Assurance Mutuelle contre la Mortalité du Bétail de Saint-Nicolas-de-Bourgueil (Indre-et-Loire). - (M. Henry Ory, maire, à Saint-Nicolas-de-Bourgueil)
 

Société d'Assurance Mutuelle locale contre les Accidents, Avon, par l'Ile-Bouchard (Indre-et-Loire). - (M. Eugène Deforge, Président de la Société, Avon, par l'Ile-Bouchard)

Société contre la Mortalité du Bétail "La Prévoyante" de Saché (Indre-et-Loire). - (M. Quesneau, Président, à Saché)

Société de Laiterie Coopérative d'Orbigny (Indre-et-Loire). - (MM. Eugène Lanchais, à Chasnay, commune de Beaumont, par Montrésor ; Jules Garnier, à Chanteloup, commune de Beaumont, par Montrésor (Indre-et-Loire)

Société contre la Mortalité du Bétail de Chédigny (Indre-et-Loire). - (M. Buron, Président, à Chédigny)

Société Mutuelle Locale d'Assurance contre les Accidents, Savigné-sur-Lathan (Indre-et-Loire). - (M. Louis Besnard, Maire de Savigné-sur-Lathan)

Société de Secours Mutuel contre la Mortalité des Bestiaux de la Commune de Mosnes (Indre-et-Loire).- (M. Vernon Besnard, Président, à Mosnes)

Société Syndicale d'Assurances Mutuelles contre la Mortalité du Bétail de Hommes et communes circonvoisines à Hommes (Indre-et-Loire). - (MM. Joseph Gaud, Président, le Châlet, à Hommes ; Horeau Dreux, Vice-Président, à Hommes ; Léon Mesme, Secrétaire, Trésorier, à Hommes)

Société Tourangelle d'Horticulture à Tours. - (M. Henri Lemoine, Directeur des Jardins de la ville de Tours, 1, boulevard Tonnelé, à Tours (Indre-et-Loire)

Société "Assurance Mutuelle Bétail" à Saint-Cyr-sur-Loire (Indre-et-Loire). - (M. Crenier Diet, au Riffay, Saint-Cyr-sur-Loire)

Syndicat Agricole de Chanay (Indre-et-Loire). - (M. Maffray, Président du Syndicat, à Chanay)

Syndicat Agricole de Chemillé-sur-Dême (Indre-et-Loire). - (M. Alfref Touchard, Ballage, Chemillé-sur-Dême)

Syndicat Agricole de Chemillé-sur-Indrois, par Montrésor (Indre-et-Loire). - (Vicomte Henri de Marsay, à Marsay)

Syndicat Agricole de Mouzay (Indre-et-Loire). - (M. Montrot, Secrétaire su Syndicat, Mouzay par Varennes (Indre-et-Loire)

Syndicat Agricole de Richelieu (Indre-et-Loire). - (M. Albert Cailler, La Viellerie Chaveigne, par Richelieu (Indre-et-Loire).

Syndicat Agricole de Rivarennes (Indre-et-Loire). - (M. Jean Lucas, Président, à Rivarennes).

Syndicat Agricole de Saché, par Cheillé (Indre-et-Loire). - (M. Benjamin Brosson, à Chalenton, par Saché).

Syndicat Agricole de Savigné-sur-Lathan (Indre-et-Loire). - ( M. Roy, à Savigné-sur-Lathan).
 

Syndicat Agricole de Saint-Branchs (Indre-et-Loire). - (M. Alfred Robin, à Saint-Branchs).

Syndicat Agricole de Saint-Pierre-des-Corps (Indre-et-Loire). - (M. Dussault, Président).

Syndicat Agricole de Saint-Senoch, par Varennes (Indre-et-Loire). - (M. Giroux Ursin, à Saint-Senoch, par Varennes).

Syndicat Agricole et maraîcher de la Riche-Extra (Indre-et-Loire). - (M. Tulsane Besnier, Président du Syndicat, La Riche).

Syndicat Agricole et Viticole d'Athée-sur-Cher (Indre-et-Loire). - (M. François Volant Rognet, Athée-sur-Cher).

Syndicat Agricole et Viticole d'Azay-sur-Cher (Indre-et-Loire). - (M. Germain Charles, Vice-Président).

Syndicat Agricole et Viticole de Ballan (Indre-et-Loire). - (M. André Habert, Propriétaire, à la Pontonnière par Ballan).

Syndicat Agricole et Viticole de Benais (Indre-et-Loire). -(M. Maurice Lemesle, Président, à Benais).

Syndicat Agricole et Viticole de Bourgueil (Indre-et-Loire). - (M. Goupil de Bouillé, Château de Pavée, à Bourgueil).

Syndicat Agricole et Viticole de Brizay et ses communes circonvoisines, Brizay, par l'Ile-Bouchard (Indre-et-Loire). - (M. Pretseille, Président, à Brizay).

Syndicat Agricole et Viticole de Cézelle [Cérelles] (Indre-et-Loire). - (M. Robert, Président, à Cérelle, par Rouzier).

Syndicat Agricole et Viticole de Chambourg (Indre-et-Loire). - (M. Alfred Rossignon, Propriétaire, à Chambourg).

Syndicat Agricole et Viticole de La-Chapelle-sur-Loire (Indre-et-Loire). -(M. Jules Jacquelin, La Chapelle-sur-Loire).

Syndicat Agricole et Viticole de Chédigny (Indre-et-Loire). - (M. Alphonse Durand).

Syndicat Agricole et Viticole de Chisseaux (Indre-et-Loire). - (M. Germain Hippolyte, Chisseaux).

Syndicat Agricole et Viticole de Cravant, par l'Ile-Bouchard (Indre-et-Loire). - (M. Angelliaume, Président, à Cravant).

Syndicat Agricole et Viticole de Crissay, par l'Ile-Bouchard (Indre-et-Loire). -(M. Théophile Georget, Président, à Crissay).

Syndicat Agricole et Viticole de Druye, par Azay-le-Rideau (Indre-et-Loire). - (M. Maurice Devonne, Thorigny, par Veigné).

Syndicat Agricole et Viticole de Fondettes (Indre-et-Loire). - (M. Poirier Séraphin, Secrétaire trésorier).
 

Syndicat Agricole et Viticole de Hommes (Indre-et-Loire). - (MM. Carré Pays, à Hommes ; Pays Justin à Hommes ; Genneteau Maintier, à l'Airault, Continvoir (Indre-et-Loire).

Syndicat Agricole et Viticole de Huismes (Indre-et-Loire). - (M. Blondeau Chassa, à Huismes).

Syndicat Agricole et Viticole d'Ingrandes (Indre-et-Loire). - (M. René Martin, Trésorier du Syndicat).

Syndicat Agricole et Viticole de Langeais et communes circonvoisines, à Langeais (Indre-et-Loire). - (MM. Deschamps, à la Mulotière, par Langeais ; Leguay, à Planchourg, par Langeais).

Syndicat Agricole et Viticole de Ligueil (Indre-et-Loire). - (M. L. Maurice, Président du syndicat, à Ligueil).

Syndicat Agricole et Viticole de Louestault, par Neuvy-le-Roi (Indre-et-Loire). - (Baron de Boucheporn, château de Fontenailles, par Neuvy-le-Roi).

Syndicat Agricole et Viticole de Lussault (Indre-et-Loire). - (M. Berendorf, Président du Syndicat, à Lussault).

Syndicat Agricole et Viticole de Manthelan (Indre-et-Loire). - (M. Bienvault Silvain, Président).

Syndicat Agricole et Viticole de Mazières (Indre-et-Loire). - (M. Victor Barrier, Président du syndicat, à Mazières).

Syndicat Agricole et Viticole de Montlouis-sur-Loire (Indre-et-Loire). - (. MM. Fillet Archambault, à Rochepinard, par Montlouis ; Moyer Habert, à Husseau, par Montlouis).

Syndicat Agricole et Viticole de Monts (Indre-et-Loire). - (M. J. Chardon, Président, à Monts).

Syndicat Agricole et Viticole de Neuillé-le-Lierre (Indre-et-Loire). - (M. Auguste Barbot, Président du syndicat, Neuillé-le-Lierre).

Syndicat Agricole et Viticole de Parçay-Meslay (Indre-et-Loire). - (M. Léon Tulasme, Président du syndicat).

Syndicat Agricole et Viticole de Pocé (Indre-et-Loire). - (M. Avrin Bordier, à Pocé).

Syndicat Agricole et Viticole de Saint-Antoine-du-Rocher (Indre-et-Loire). - (M. Joseph Guérault, Saint-Antoine-du-Rocher).

Syndicat Agricole et Viticole de Saint-Cyr-sur-Loire (Indre-et-Loire). - (M. Morin Ribot, 50, avenue du Mans, Saint-Cyr-sur-Loire).

Syndicat Agricole et Viticole de Saint-Denis-hors et Amboise, Saint-Denis-Hors (Indre-et-Loire). - (M. Margueritte René, Vice-président, à Saint-Denis-hors).
 

Syndicat Agricole et Viticole de Saint-Epain (Indre-et-Loire). - (M. Georges Maurive, Propriétaire au Deneux, Saint-Epain).

Syndicat Agricole et Viticole de Saint-Genouph (Indre-et-Loire). - (M. Néret Sylvain, Vice-Président, au Grand-Moulin, Saint-Genouph).

Syndicat Agricole et Viticole de Saint-Patrice (Indre-et-Loire). - ( M. Brisset, Président, Saint-Patrice).

Syndicat Agricole et Viticole de Vernou-sur-Brenne (Indre-et-Loire). - (M. Lyon Deitz, à Vernou-sur-Brenne).

Syndicat Agricole et Viticole de Villedômer (Indre-et-Loire). - (M. Louis Halteau, Président du syndicat, Villedômer).

Syndicat Agricole et Viticole de Vouvray (Indre-et-Loire). - (M. Aubert Plisson, Président, à la Vallée Coquette, par Vouvray).

Syndicat Agricole et Viticole d'Yzeures (Indre-et-Loire). - (M. Jules Penot, Président du syndicat, à Yzeures).

Syndicat Cantonal Agricole et Viticole de Bourgueil (Indre-et-Loire). - (M. Courtois Villeronde, Président du Syndicat, Bourgueil).

Syndicat de Culture Mécanique de Richelieu (Indre-et-Loire). - (Comte du Fort, le Verger, par Richelieu).

Syndicat d'Elevage de la Commune de Ballan (Indre-et-Loire). - (M. Salvador, la Commanderie, par Ballan).

Syndicat d'Elevage de Cravant (Indre-et-Loire). - (M. Davonneau-Paris, Président du syndicat, Cravant)

Syndicat d'Elevage de Louans (Indre-et-Loire). - (M. Armand Goury, à Louans).

Syndicat d'Elevage de Luzé (Indre-et-Loire). - (M. Louis Souty, Président, à la Cicardière, par Luzé).

Syndicat d'Elevage de Saint-Branchs (Indre-et-Loire). - (M. Adrien Fouassier, au Rauderies, par Saint-Branchs).

Syndicat d'Elevage " l'Union des Coopératives ", Azay-sur-Cher (Indre-et-Loire). - (M. Charles Bardoux, Président, à la Bonnière, par Azay-sur-Cher).

Syndicat de Francueil (Indre-et-Loire). - (M. Firmin Gaillard, Président du syndicat, à Francueil).

Syndicat de Néoculture et Motoculture de Touraine, 1, rue Michelet, Tours (Indre-et-Loire). - (M. Maurice Charles, Manoir d'Enfer, par Artannes (Indre-et-Loire).

Syndicat de Pussigny (Indre-et-Loire). - (M. Bourguignon, à Pussigny).

Syndicat de Saint-Ouen (Indre-et-Loire). - (M. Simon).
 

Union des Assurances Mutuelles contre la Mortalité du Bétail et contre les Accidents du Travail, Huismes (Indre-et-Loire). - (M. Henri Rouzier, Président, au Marais, par Huismes).

Union Syndicale des Agriculteurs des Randeries et des Carroirs (Indre-et-Loire). - (M. Adrien Pesneau, à l'Héreault-des(Champs, par Saint-Branchs (Indre-et-Loire).

Union Syndicale des Agriculteurs et Viticulteurs de Louans (Indre-et-Loire). - (M. Etienne Jahan, au Pressoir, commune de Louans (Indre-et-Loire).

Union Syndicale des Agriculteurs et Viticulteurs de Noizay (Indre-et-Loire). - (M. Pinet Courtigné, Président de l'Union).

Union Syndicale de Battage des Randeries, Commune de Saint-Branchs (Indre-et-Loire). - (M. Pierre Moreau, aux Bondis, par Saint-Branchs).

Union des Vignerons de Chinon et de sa Banlieue (Indre-et-Loire). - (M. Emile Suard-Amirault, Président, rue Beaurepaire, à Chinon).

Union Vinicole des Propriétaires d'Indre-et-Loire, 21, rue Nationale, Tours. - (MM. Germain Bry, Président ; Heurtault et Verjat, Vice-Présidents).
 

Publié dans Organismes, Syndicalisme

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